Le ski de printemps à la peine

Selon cette étude, la part de marché des vacances de printemps ne cesse de diminuer depuis 8 ans : 13% en 2006/2007, 2% seulement en 2013. Les pratiquants de ski en avril sont essentiellement des skieurs confirmés, voire experts. Pour les autres, le ski de printemps est encore plein de fausses idées. Pour développer cette pratique, l’étude évoque plusieurs pistes à explorer. En premier lieu, le calendrier des vacances scolaires, puisque le potentiel séjour se situe avant la mi-avril pour l’ensemble des pratiquants. Côté communication, les atouts du ski de printemps doivent être mis en avant : la douceur du climat, les journées plus longues, la fête ou encore l’après-ski revisité.