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Une entreprise française accusée de sous-enchère salariale sur le chantier du CEVA
Mardi, le syndicat Unia a manifesté sur le site des Eaux-Vives.
En cause : des travailleurs payés 1300 euros, au lieu des 4340 prévus par la Convention collective du gros œuvre, soit 5350 francs suisse. Des accusations rejetées par l’entreprise, mais quand même prise au sérieux par la CATTC chargée de s’assurer que, sur le chantier du CEVA, tout le monde applique les conventions collectives. Des discussions seraient en cours avec Unia, pour notamment renforcer les contrôles.








