Les médecins urgentistes de Cluses inquiets

Cette décision sonne pour eux comme la mort de l’établissement de santé. Même le maintien d’une unité de soins non programmés, c’est-à-dire les petites urgences qui ne nécessitent pas de lourdes hospitalisations, ne les convainc pas. La décision de l’ARS prend effet dès jeudi. Les professionnels de santé craignent une dégradation rapide de la situation. Plus de 70 emplois seraient menacés.