L’étude se concentre sur des produits destinés aux bébés dès six mois et met en garde contre le risque que les enfants deviennent accros au sucre. L’ONG a analysé près de 100 produits achetés dans 20 pays africains et a constaté qu’une portion contenait en moyenne près de six grammes de sucre ajouté, avec un pic à 7,5 g par portion pour un produit vendu au Kenya.
Nestlé conteste ces résultats dans un communiqué et qualifie le rapport d’allégations trompeuses. Le groupe affirme que "si l’on exclut les sucres venant des ingrédients comme le lait, les céréales et les fruits, nos céréales infantiles ne contiennent pas les niveaux de sucre mentionnés dans ce rapport". L’entreprise insiste sur le fait que la santé et la nutrition des enfants dans le monde sont une "priorité absolue" et qu’elle n’applique pas "deux poids, deux mesures".









