La décision fait suite à une réunion rapide au Conseil d’État genevois, vendredi dernier, où la délégation française a essuyé un refus catégorique de Genève de revenir sur son règlement adopté en juin. Cette mesure concerne environ 1 200 enfants de frontaliers, qui seront contraints d’intégrer les établissements scolaires en France à la prochaine rentrée.
Une nouvelle audience devrait être demandée par les élus français qui regrettent l'absence de concertation.









