Ce lundi 21 juillet, le Comité d’Organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques d’Hiver des Alpes Françaises 2030 (COJOP) s’est réuni en conseil d’administration pour effectuer un schéma préférentiel des sites pouvant accueillir les épreuves. Si certains puristes ont salué l’intégration de la station Val d’Isère pour les épreuves de ski alpin, d’autres ont regretté le retrait de Méribel.
Il faut dire que le maire de la station implantée dans la vallée de la Tarentaise avait menacé de se retirer s'il n'avait droit qu'à des épreuves paralympiques. Et cela a l’air de n’avoir pas plu aux dirigeants du COJOP.
"Je me refuse à considérer que la position de Méribel soit définitive"
"Il faut prendre le temps de regarder les choses et je me refuse à considérer que la position de Méribel soit définitive, même si l’hypothèse de départ n’est plus celle dont on parle aujourd’hui", a déclaré Fabrice Pannekoucke, président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, à nos confrères du Dauphiné libéré.
Selon lui, l’offre proposée par le COJOP est plus que positive pour Méribel : "Ce n’est pas une sous-hypothèse de travail, d’autant qu’on a bien vu lors de Paris 2024 qu’il y a désormais une très belle exposition médiatique (…) Les paralympiques sont organisés dans une période touristique plus favorable".
Une solution est ainsi proposée par le patron de la Région : répartir l’accueil des épreuves du combiné nordique avec Courchevel et Méribel.
