Ce texte demande une révision de la Loi fédérale sur les stupéfiants, tout en exigeant que le deal dans un espace public soit considéré comme une circonstance aggravante. Le dealer serait ainsi puni par un emprisonnement, d’au moins six mois lorsqu’il y a récidive. Quelques désaccords ont tout de même été observés entre les fronts de droite et de gauche, en particulier sur le déploiement du trafic de drogue dans le canton. Il représente actuellement un marché d’environ 80 millions de francs et 14 000 consommateurs vaudois.
Le canton de Vaud veut lutter contre le deal de rue
Le Grand conseil a accepté hier (mardi) le dépôt d’une initiative cantonale pour durcir les sanctions appliquées aux trafiquants de drogue.