Cyril Pellevat vient d’écrire au Ministre en charge des PME. Dans son courrier il rappelle que ces entreprises sont soumises à un modèle économique basé sur la saisonnalité. « Si le fonds de solidarité a été utile suite à la fermeture des remontées mécaniques, il n'a néanmoins pas permis aux acteurs de la montagne de se constituer une épargne leur permettant de tenir jusqu'à l'hiver suivant. ».
La seconde raison évoquée par le sénateur est la baisse drastique des investissements des domaines skiables. Les indemnisations des exploitants de remontées mécaniques n’ont eu "aucun effet de ruissellement en direction de leurs fournisseurs, et notamment des entreprises d'aménagement de la montagne" explique Cyril Pellevat.