Cette proposition de loi, adoptée par le Grand conseil genevois en février 2020, visait à interdire pendant 3 ans le déploiement de la 4G+ et de la 5G dans le canton, avec notamment l’interdiction d’installer de nouvelles antennes. La justice genevoise a estimé que ce texte était contraire au droit supérieur et que la protection des habitants contre le rayonnement des installations de téléphonie mobile relevait de la confédération.
La justice genevoise annule la loi "anti-5G"
La Chambre constitutionnelle a finalement tranché mercredi en faveur des opérateurs de téléphonie mobile.