Il a été jugé pour son implication dans une affaire d’escroquerie menée avec d’autres membres de la direction ainsi qu’un employé du syndicat Unia en 2014. Le prévenu est également accusé d’avoir déclaré au chômage 10 travailleurs fictifs alors que l’entreprise ne comptait qu’un seul salarié. Cette affaire de fraude est estimée à 3 millions de francs versés à tort par la Caisse de chômage vaudoise.
Lausanne : prison ferme pour fraude au chômage
Un patron-ferrailleur a été condamné à 2 ans de prison dont 6 mois fermes pour des faits d'escroquerie.