L’homme de 62 ans, arrivé à Genève mardi dernier, avait alors nié avoir été au volant ce jour-là, rejetant la responsabilité sur son garde du corps. Une version ensuite démentie par les différents témoignages et les vidéos. L’affaire fait grand bruit en Ukraine et les autorités ont donné au suspect jusqu'à vendredi prochain pour se présenter à un interrogatoire. Passé ce délai, l'aide des autorités suisses sera sollicitée.