Le genevois traque les faux résidents secondaires
Ils sont plusieurs milliers à habiter en France et travailler en Suisse sans être déclarés auprès de leur commune.
Une situation qui crée un manque à gagner, notamment sur les fonds frontaliers reversés à chaque municipalité, proportionnellement à son nombre de travailleurs Suisse. Une campagne est donc lancée avec une lettre explicative qui sera envoyée. Grâce à ce même genre d’action, Saint-Julien a par exemple régularisé un tiers de frontaliers Suisses supplémentaires l’année dernière.








