Bernard Rappaz a épuisé tous ses jokers juridiques
La cour européenne des droits de l’homme vient de refuser la demande du chanvrier valaisan de mesures provisionnelles.
Autrement dit elle ne le libèrera pas. Bernard Rappaz doit donc se résigner et mettre un terme à sa grève de la faim s’il ne veut pas mourir. A son 118ème jour de jeune il rencontrera son avocat ce lundi pour décider de la suite de son combat. Il conteste toujours sa condamnation pour violation grave de la législation sur les stupéfiants.








