Pas de grâce
Bernard Rappaz n’a pas été gracié jeudi par le parlement valaisan.
Sa demande a été rejetée par 113 voix contre 14 après un débat à huis-clos. Les échanges ont été nourris mais sereins mais la grève de la faim du chanvrier est très mal perçue dans le canton et assimilée à un chantage par les Valaisans. Berrnard Rappaz refuse toujours de s’alimenter après plus de 80 jours de jeune au quartier carcéral des HUG. Il demande la révision de sa condamnation à 5 ans et 8 mois de réclusion pour trafic de chanvre.








