Le texte proposait un chèque annuel de 300 francs utilisable chez le dentiste ou l’hygiéniste pour les 135 000 bénéficiaires de subsides d’assurance maladie. Le Conseil d’État et la majorité de droite du Grand Conseil s’étaient opposés à ce dispositif, estimant son coût initial à 45 millions de francs par an et en soulignant que le nombre de bénéficiaires ne cesse d’augmenter.
Malgré ce refus, l’Exécutif a rappelé rester attentif à la question de la renonciation aux soins dentaires, alors que 90 % des frais restent à la charge du patient en Suisse, ce qui pousse certains précaires à ne pas consulter.









