Les faits remontent en mars 2021. L'EPCL, comme d'autres établissements à cette époque, avait été touché par de fausses alertes à la bombe. Lors du premier procès, les jeunes, âgés de 19 à 23 ans au moment des faits, avaient tous nié en bloc leur implication.
Deux ans de prison avec sursis
Mais en deuxième instance, ils ont finalement avoué leur participation à cette fausse alerte et le tribunal a pris en considération leurs aveux. Deux filles ont écopé de 150 jours-amende avec un sursis deux ans. Le troisième membre du groupe a eu une peine plus lourde en raison d'un autre jugement pour des vidéos pornographiques partagées à un tiers. Il a écopé de 180 jours-amende et d'une même peine de prison, à savoir deux ans de sursis.