Une élève de 17 ans et un garçon de 18 ans ont reconnu être à l'origine de la fausse alerte à la bombe. D'après les premiers éléments de l'enquête, ce serait elle qui aurait demandé à son ami de déclencher l'alerte. Si elle risque un an de prison, lui encourt une plus grosse peine, dû à son âge. Il risque en effet trois ans de prison, une inscription à son casier judiciaire et une amende. Une procédure d'exclusion a aussi été lancée pour l'élève.
Les faits s'étaient déroulés dans la matinée et c'est une enseignante qui a été alertée en première. Tous les élèves et le personnel avaient été évacués et renvoyés chez eux.