Haute-Savoie : la carte scolaire dévoilée pour la rentrée 2024

Haute-Savoie : la carte scolaire dévoilée pour la rentrée 2024
Photo d'illustration

Les dernières informations sur la rentrée 2024 dans le 1er degré viennent d'être validées par le Conseil départemental de l’Education Nationale.

Les moyens attribués au département s’élèvent à 16 emplois supplémentaires. Une dotation qui doit permettre notamment de cibler des effectifs de grande section, de CP et de CE1 à 24 élèves ou encore de poursuivre le dédoublement des grandes sections, CP et CE1 en éducation prioritaire. Une attention particulière a également été portée aux écoles rurales et de montagne en Haute-Savoie, ainsi qu’à l’école inclusive. 

Les précisions du Conseil départemental de l’Education Nationale (CDEN) :

Rentrée 2024 dans le 1er degré

Sous la présidence du préfet et du Conseil Départemental, les membres du conseil départemental de l’Education Nationale (CDEN) se sont réunis le 15 février dernier afin d’être consultés par le directeur académique des services de l’éducation nationale de la Haute-Savoie sur la préparation de la rentrée 2024. Les moyens attribués au département s’élèvent à +16 emplois.

La politique éducative nationale a pour objectif d'élever le niveau des élèves et de réduire les inégalités en visant la maîtrise des savoirs fondamentaux par tous les élèves dans le premier degré. La dotation permettra au-delà de la croissance démographique :
- de cibler des effectifs de grande section, de CP et de CE1 à 24 élèves,
- de poursuivre le dédoublement des grandes sections, CP et CE1 en éducation prioritaire,
- de renforcer la scolarisation des TPS en éducation prioritaire ou dans les quartiers politiques de la ville,
- d’apporter une attention renforcée aux territoires ruraux,
- d’accompagner la scolarité des élèves à besoins éducatifs particuliers.

Lors des travaux de carte scolaire, une attention particulière a été portée aux écoles rurales et de montagne ainsi qu’à l’école inclusive. La répartition des moyens se fait à partir de nombreux dialogues entre les élus et les services de l’Education nationale, sur la base de critères objectivés, afin que celle-ci soit la plus équitable possible.