153 jours d’enquête et 27 agents de la police vaudoise mobilisés sur cette affaire. Ils avaient été alertés par les Etats-Unis où se situent les sièges des fournisseurs d’accès.
96 interpellations précisément ont été effectuées dont 15% de mineurs.
L’enquête se poursuit notamment car certains des mis en causes pourraient être impliqués dans des affaires d’abus sexuels sur mineurs. D’autres ont simplement partagé des fichiers illicites dans un but "informatif" ou "humoristique" selon la police cantonale vaudoise. Des faits qui restent évidemment interdits.